В русском языке слово «impress», после отсчения латинской приставки «im» превращается в существительное «пресс», которое означает «давление», «сжатие», «продавливание», «уплотнение» и/или «изменение» формы. Изначально же «пресс» в русском профессиональном обиходе стал использоваться, как заимствованное французское слово presse, не вседа верно переводимое, как «тиски» или «зажим». При некритичной семантической разнице толкования, мы видим, что остаются неизменные фиксация и давление, как признаки тактильного воздействия на предмет. Если ранние свидетельства оттисков представляли собой документ и факт, то есть, не художественное, не смонтированное изображение, то позднее, в развитии техники фото и –видео фиксации, мы видим привычные для аполлонической культуры мотивы Пигмалиона. Теперь уже сам художник, делающий оттиск видит не документ, подтверждающий лик Бога, но божественное присутстие. В лице ли творца узнаёт художник себя или в себе открывает скрытую Галатею – потерянный или обретаемый Бог оставляет своё присутствие в каждом веке, как то: Туринская плащаница и станок Гутенберга. Искусствовед, в восторге замерший перед полотнами Русского Музея и прохожий, каменеющий перед взглядом Медузы Версаче на Rue Du Fauborg St. Honore - безотчётно несут на себе печать той красоты, что ошеломляет и как документ, и как присутствие.
En russe le mot "Impress" après la suppression du préfixe latin "im" se transforme en substantif "press" ce qui signifie "pression", "serrement", "poinçonnage","condensation" et/ou "modification" de la forme. Initialement, le mot "press" étant prêté du français dont l'équivalent est "presse", a été utilisé dans le langage professionnel russe et pas toujours bien traduit par "tenailles" ou "serrage".
Prenant en considération que la différence sémantique de l'interprétation n'est pas cruciale, on voit que le caractère de l'effet tactile sur l'objet tels que la fixation et la pression reste invariable. Et même si au début les témoignages représentaient un document et un fait, c'est à dire un image qui ne constitue pas l'oeuvre d'art, plus tard au fil du développement des techniques de la prise de photos et vidéos on reconnait des motifs de Pygmalion, typique de la culture apollinienne.
Maintenant c'est déjà l'artiste faisant une empreinte qui ne voit pas un document, affirmant l'image de Dieu, mais la présence divine.
Le peintre, se reconnaît-il lui-même en créateur ou découvre-t-il en lui une Galatée cachée - Dieu, perdu ou retrouvé, qui note sa présence dans tous les temps, tels que le
Suaire de Turin, la machine de Gutenberg, le critique d'art se pâmant devant les toiles du Musée Russe, le passant se pétrifiant devant le regard de la Meduse de Versace dans la rue du Faubourg St. Honoré - tous portent un cachet de la beauté qui est stupéfiante, étant un document tout comme une présence.
Prenant en considération que la différence sémantique de l'interprétation n'est pas cruciale, on voit que le caractère de l'effet tactile sur l'objet tels que la fixation et la pression reste invariable. Et même si au début les témoignages représentaient un document et un fait, c'est à dire un image qui ne constitue pas l'oeuvre d'art, plus tard au fil du développement des techniques de la prise de photos et vidéos on reconnait des motifs de Pygmalion, typique de la culture apollinienne.
Maintenant c'est déjà l'artiste faisant une empreinte qui ne voit pas un document, affirmant l'image de Dieu, mais la présence divine.
Le peintre, se reconnaît-il lui-même en créateur ou découvre-t-il en lui une Galatée cachée - Dieu, perdu ou retrouvé, qui note sa présence dans tous les temps, tels que le
Suaire de Turin, la machine de Gutenberg, le critique d'art se pâmant devant les toiles du Musée Russe, le passant se pétrifiant devant le regard de la Meduse de Versace dans la rue du Faubourg St. Honoré - tous portent un cachet de la beauté qui est stupéfiante, étant un document tout comme une présence.
